La peinture s’est mise à exister pour lui au Mexique, mais c’est lors de son retour en Europe qu’elle s’est imposée à ses yeux comme une échappatoire.

La performance il l’a découverte plus tard à New-York. Après avoir assisté à plusieurs happenings il a décidé d’en faire lui-même. C’était un moyen d’expression plus vivant qu’il venait de découvrir. Après tout s’est enchaîné : L’homme bleu au vernissage de Klein (1967) et la rencontre avec l’avant-garde. Puis de retour à Nice, une action pour le Biafra, un hold-up, mais aussi son procès en pyjama rayé.

Pierre Pinoncelli est décédé en octobre 2021, laissant derrière lui une collection monumentale d’œuvres.

Cavalaire rend hommage à cet artiste fou pour les uns et génial pour les autres